Même s’il n’est pas un people, Jean-Luc Mélenchon est victime de sa célébrité, confirme-t-il dans les colonnes du magazine ’Closer’, qualifié d’ ’espace de liberté’.
’Pour moi, Closer est un espace de liberté’, dit-il tout d’abord, ’Venir dans votre rédac, oui, c’est une transgression. Ça m’amuse’.
L’ex candidat à la présidence de la république évoque au détour de ses confidences et de ses coups de gueule, son rapport à la célébrité.
’C’est une vie souvent insupportable, confie-t-il à l’hebdomadaire. ’J’ai passé la soixantaine et je vis le sort d’une belle femme... c’est-à-dire que tous les relous de la terre s’autorisent à faire des commentaires sur mon comportement, ma vie, ma tenue même’.
Jean-Luc Mélenchon en profite par ailleurs pour évoquer le livre de Valérie Trierweiler, ’Merci pour ce moment’, écoulé à plus de 700 000 exemplaires.
’Elle est partie dans un délire où je ne me sens plus concerné’, commente celui qui avait soutenu l’ex première dame suite à sa rupture avec François Hollande en janvier dernier.
’C’est une chose d’avoir un grand chagrin d’amour, une chose de subir une humiliation’, glisse-t-il.
’Déjà, d’en faire un livre, c’est limite. Mais une tournée européenne en plus... non !, lance-t-il.
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