Jamel Debbouze rêve d’avoir un bras bionique rapporte ’France Dimanche’, qui relaye des confidences livrées par l’humoriste, actuellement à l’affiche de ’Pourquoi, je n’ai pas mangé mon père’.
’Lourdement handicapé depuis l’âge de 14 ans, l’humoriste souhaite faire appel à la science pour retrouver l’usage de son membre’, rappelle le magazine people dans son numéro du 10 avril dont la Une est consacrée à Johnny Hallyday qui est supposé faire face à un cancer.
France Dimanche relaye ensuite les réponses livrées par le mari de Mélissa Theuriau aux lecteurs du Parisien, qui n’ont pas manqué de l’interroger sur son handicap.
A 14 ans, Jamel Debbouze a été percuté par un train et a perdu l’usage d’un bras. Il revient sur ce drame et sur la manière dont il s’en était sorti.
« J’ai eu la chance extraordinaire de ne pas me rendre compte. Quand le médecin est venu et m’a appris que je ne pourrais plus bouger le bras, il avait des stylos dans sa poche. Je lui ai demandé de m’en prêter un et je me suis immédiatement mis à écrire de la main gauche. Sans réfléchir, j’ai pris ma douleur à crédit. J’ai fait ma rééducation durant presque deux ans dans un centre du 14e arrondissement, et j’ai vu des gens qui ne pouvaient s’exprimer qu’avec leurs paupières. Là, je me suis senti très bien, très en forme. J’étais heureux de vivre, je n’étais plus handicapé. », dit-il.
L’humoriste a cependant confié qu’il n’avait aucun intention d’avoir une prothèse.
’Jamais de la vie !’, répond-t-il à une question dans ce sens.
’En revanche, s’il y avait un bras bionique pour 40 euros, je prends [rires].Pour mettre une prothèse biomimétique, il faut être amputé, alors retirer mon bras... non merci. En revanche, s’ils libèrent les cellules souches, je serais curieux d’essayer. C’est assez incroyable comme avancée’.
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