Dans son livre, « A cœur ouvert, la douleur d’une mère », qui sort cette semaine, Ingrid Chauvin s’est livrée dans les colonnes du « Journal du dimanche », et de « Gala », où elle évoque la disparition de sa fille Jade, décédée il y a toute juste un an.
Presque un an jour pour jour après le décès de sa fille Jade à l’âge de 5 mois, la comédienne tente tant bien que mal de se reconstruire, avec comme seul objectif : ne surtout pas se laisser « dépasser par le chagrin ».
Dans une certaine manière, la comédienne confirme continuer à vivre un peu dans le déni.
« J’imagine qu’elle est chez sa nounou. Tous les jours, j’essaie de penser qu’elle est quelque part », confie-t-elle lors d’un entretien avec « Gala ».
« Si je ressasse ce qui s’est passé le jour du décès de Jade, je sombre », assure la comédienne de 41 ans.
Si Ingrid Chauvin a réussi à tenir le coup, c’est beaucoup grâce à son mari, une épaule et un soutien depuis ce drame.
« L’amour nous a soudés : celui que nous nous portons, mais aussi celui que nous portons à notre fille. C’est un amour que nous voulons faire perdurer », affirme la jeune femme, qui après le drame, avoue avoir pensé à mettre fin à ses jours.
« J’étais accrochée à la rambarde de ce balcon. Je regardais en l’air, par terre. J’étais de dos, mais j’ai senti le regard de mon mari me transpercer. Il m’a retenue du bon côté de la rambarde », s’est-t-elle rappelé.
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