Ce début d’année s’avère difficile pour Guillaume Genton. Outre l’incertitude concernant son avenir après l’arrêt de C8 prévu le 28 février, il est engagé dans un litige financier avec Nicolas Pernikoff, un ancien chroniqueur de Touche pas à mon poste. Ce différend, qui remonte à 2021, n’a toujours pas trouvé d’issue.
Le magazine Public revient sur cette affaire.
Guillaume Genton est revenu sur cette affaire sur Instagram le 1er janvier, se montrant particulièrement remonté.
D’après lui, Nicolas Pernikoff aurait commandé des publicités pour des marques à son groupe, pour un montant de 165 000 euros.
À l’époque, les deux hommes entretenaient de bonnes relations. Or, quatre ans plus tard, Guillaume Genton affirme n’avoir toujours pas perçu les sommes dues.
Ce manque à gagner aurait eu des répercussions sur ses finances, l’obligeant à revoir son train de vie.
Guillaume Genton explique avoir attaqué en justice la société La Nouvelle, détenue par Nicolas Pernikoff, il y a deux ans, concernant ces factures impayées depuis 2021, pour un montant total de 165 520 euros.
Il déplore que son groupe n’ait toujours rien reçu, mettant ainsi en péril ses sociétés et ses employés. Il accuse également son ancien collègue d’avoir « escroqué au total plus d’une soixantaine de sociétés et prestataires qui n’ont jamais été réglés ». Guillaume Genton avait déjà évoqué cette affaire dans TPMP en 2023.
De son côté, Nicolas Pernikoff, qui a été directeur des programmes de flux à France Télévisions de 2005 à 2011 et qui continue de travailler pour le service public, notamment en produisant des émissions comme Silence ça pousse ! sur France 5, conteste fermement ces accusations, les qualifiant de « totalement mensongères ».
Il explique avoir subi les conséquences de la crise sanitaire et avoir demandé le placement de son agence sous le régime de la sauvegarde. Il précise que « Monsieur Genton a été parfaitement informé de cette procédure et il ne s’agit en rien d’une escroquerie ou une malversation. Au contraire, il s’agit de faire face à ses dettes et de les régler intégralement sur la durée prévue par la loi, selon les dispositions qui sont d’ordre public. »
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