Dans son autobiographie en librairies mercredi, Florent Pagny retrace les « sept vies » qu’il dit avoir vécues avec passion. Des extraits sont publiés par Le Journal du Dimanche, et on apprend que son docteur est David Khayat, chef du service d’oncologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, qui s’était occupé de Johnny Hallyday. Il a été reçu par Johnny et Laeticia Hallyday à la Savannah, leur résidence parisienne.
Le chanteur publie son autobiographie cette semaine, où il raconte les "sept vies" qu’il a vécues avec passion. Des extraits de ce livre ont été publiés par le Journal du Dimanche, révélant que son médecin traitant est le professeur David Khayat, chef du service d’oncologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, qui avait également suivi Johnny Hallyday. Il a été honoré par la reine d’Angleterre.
Ce spécialiste avait été à plusieurs reprises à la Savannah, la résidence du Taulier et Laeticia Hallyday située à Marnes-la-Coquette.
Dans une interview accordée à Paris Match il y a quelques années, professeur Khayat s’est dit convaincu que le cancer serait un jour vaincu.
Il a raconté comment, il y a 35 ans, la cancérologie n’existait pas en tant que spécialité dans les hôpitaux, ce qui rendait le traitement des patients extrêmement difficile.
Grâce à ses efforts et à ceux de ses collègues cancérologues, la spécialité d’oncologie médicale a finalement été créée, suivie d’un syndicat, d’une société savante et d’une charte. Plus récemment, le Plan Cancer a été mis en place pour lutter contre cette maladie qui continue de faire des ravages.
Le professeur Khayat reste convaincu que le cancer sera un jour vaincu et que nous sommes déjà sur la bonne voie pour y parvenir.
"Nous étions dans une réalité insupportable il y a 35 ans, mais nous rêvions de victoire, et je suis convaincu que nous y parviendrons un jour", a-t-il déclaré.
Florent Pagny a appris la vérité sur son état alors qu’il était dans les coulisses de The Voice.
« Le professeur Khayat m’appelle enfin. C’est une mauvaise nouvelle. De tous les scénarios, le pire. La nature du cancer fait qu’il est inopérable », a-t-il écrit dans son livre. « Et le protocole qui lui correspond est unique. En gros, ça passe ou ça casse ».
« Seul dans ma loge, je reçois l’uppercut . Je ne prends pas le temps de l’encaisser. Je raccroche », a-t-il indiqué.
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