
L’état de santé d’Alain Delon suscite une vive inquiétude. De nouvelles informations, rapportées par France Dimanche, semblent confirmer que la situation est plus grave qu’il n’y paraît.
Invité sur le plateau de Quotidien ce lundi 5 mai, Florent Pagny a donné des nouvelles de son état de santé après son combat contre le cancer. Si l’artiste a d’emblée affirmé « Ouais, je suis en forme, tout va bien ! », il a aussitôt tempéré son optimisme.
L’excès d’optimiste n’est pas permis face à l’abominable crabe.
Le coach de The Voice reste très vigilant face à la maladie, conscient que « cette saloperie » n’est « jamais derrière nous ».
D’ailleurs, le suivi médical régulier est là pour le lui rappeler : « Tous les trois mois, on passe dans lesbécanes. IRM, scanners, on contrôle », a-t-il expliqué.
À chaque examen, tout est remis à plat. Florent Pagny est en quelque sorte en sursis jusqu’au prochain examen.
Il faut dire que le chanteur a déjà connu deux rechutes par le passé. Par conséquent, Florent Pagny « sait que tout est possible », d’autant plus, souligne-t-il, que « les rechutes, on ne les sent pas forcément ». La vigilance demeure donc essentielle.
Toutefois, cette épée de Damoclès des résultats d’examens ne semble pas empoisonner son quotidien.
Florent Pagny décrit sa manière de gérer cette attente : « Un peu la veille, le jour même, tu attends. Après, quand on te dit ’C’est bon’, tu le zapes pendant les trois mois qui suivent, tu n’y penses jamais. Moi je n’y pense pas (...), je ne vis pas avec ça, j’ai de la chance, ça ne m’empêche pas de dormir ! », a-t-il confié avec philosophie, visiblement heureux de pouvoir compartimenter.
Ce propos, il le tenait déjà sur TF1 quelques mois plus tôt.
"Ce n’est pas quelque chose auquel je pense, j’y pense quand j’en parle », avait-il déclaré.
L’ex-compagnon de Vanessa Paradis avait ensuite ajouté : « Il y a un moment ça a pris tellement de place que c’est vrai qu’après trois ans, t’as pas envie qu’on te porte la shkoume d’en parler ».
Le chanteur de 63 s’est montré rassurant quant à son état : « Si ça n’allait pas, je ne serais pas là et je ne m’exprimais peut-être pas de cette manière ».
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