Faustine Bollaert était sous le choc sur le plateau de "Ça commence aujourd’hui", son rendez-vous confidence sur France 2, où le comportement de François Hollande a été dénoncé.
Cette séquence a été exhumée par le magazine "Closer". Et ce jour-là, la séduisante brune accueillait Maryse Wolinski, qui évoquait la mort de son mari, Georges, lors de l’ attentat de Charlie Hebdo .
La mort de son mari, elle ne l’aurait appris que trois jours plus tard suite à un coup de téléphone de François Hollande.
"François Hollande m’a téléphoné, mais trois ou quatre jours plus tard. Moi, je cherchais le corps de mon mari, je l’ai cherché pendant trois jours, et personne ne pouvait me dire où il était !", a-t-elle confié dans le cadre de cette émission à succès de France 2.
"Tous les politiques se déplaçaient au siège de Charlie pour parler devant les caméras, mais aucune famille n’a pas été appelée officiellement. On ne savait rien, c’est un vrai bo*del"", a-t-elle déploré.
C’est justement face à ce genre de témoignage que Faustine Bollaert ressent une fatigue psychologique.
"Chaque année, je traverse une période où je mets un genou à terre . En plein hiver, quand nous proposons des émissions consacrées à des affaires de viols ou de meurtres, j’avoue que j’en ai un peu gros sur les épaules", a confié l’animatrice lors d’un entretien accordé à TV Mag.
Elle est d’ailleurs suivie depuis deux ans par un psychothérapeute "grâce auquel, "elle vide régulièrement (sa) jauge émotionnelle". " Il y a toujours cette histoire de trop qui va me bouleverser".
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