C’est le 17 novembre, que la rupture d’Eric Zemmour et sa femme Mylène C pourrait être officialisée, quelques semaines après avoir révélation par le magazine Closer.
Le candidat putatif à la présidence de la République devra en effet à nouveau comparaitre devant le tribunal correctionnel de Paris pour provocation à la haine raciale suite à ses propos tenus le 29 septembre 2020 sur C News.
Celui qui aurait quitté le domicile conjugal pour s’installer avec sa séduisante conseillère, Sarah Knafo, a assuré que les mineurs isolés sont « des voleurs, des assassins, des violeurs ».
Et d’après le magazine Closer, peu probable qu’Eric Zemmour compte sur la présence de « Mylène C, qui l’avait accompagné au tribunal en septembre 2015 ».
Et à l’époque, l’ancien sniper de « On n’est pas couché » était accompagné visé par plainte pour provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence verbale ».
Si Eric Zemmour est boudé par sa femme, il le serait aussi de toutes les femmes selon une récente étude. Les électrices estiment qu’il ferait reculer leurs droits.
« C’est rassurant de voir qu’Éric Zemmour rebute les femmes, car son élection reviendrait à effacer ou à remettre en cause bon nombre de droits », a confié Céline Piques, porte-parole d’Osez le féminisme. « Les propos du polémiste, hier, sur BFMTV où il a nié la réalité statistique de l’inégalité salariale entre les femmes et les hommes, ne devraient d’ailleurs pas rassurer les féministes », a rapporté « Le Parisien ».
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