Élodie Gossuin a récemment partagé une expérience difficile sur son compte Instagram, dévoilant des clichés poignants de sa fille Joséphine à l’hôpital.
Le 27 septembre, l’ancienne Miss France " rel="noopener" target="_blank">a publié des photos qui ne prêtaient pas à rire, montrant sa fille cadette, Joséphine, alitée dans une chambre du centre hospitalier de Compiègne-Noyon, avec un large pansement au bras.
Malgré cette situation délicate, Élodie Gossuin a tenu à rassurer ses abonnés en indiquant que sa fille et elle étaient rentrées chez elles depuis. Cependant, elle a évoqué les moments difficiles passés à l’hôpital, décrivant les heures comme interminables et les attentes comme des tortures qui semblent s’étirer jusqu’au plus profond de soi.
Élodie Gossuin, qui a récemment entamé une thérapie, a tenu à exprimer sa gratitude envers les professionnels de la santé qui ont rendu cette épreuve plus supportable, malgré les contraintes de leur propre confort.
Pour l’occasion, elle a salué leur dévouement, les qualifiant de véritables héros de la vie réelle, généreux, courageux, bienveillants, compatissants et humains, capables de faire preuve de patience envers des patients parfois impatients, tout en sacrifiant leur propre temps pour leur bien-être.
Elle a remercié chaleureusement les infirmiers, aides-soignants et médecins pour leur incroyable engagement et a adressé des pensées affectueuses aux parents confrontés à de telles épreuves, rêvant simplement de voir leurs enfants s’épanouir et rire de la vie. Élodie Gossuin et Joséphine sont rentrées chez elles, apaisées et reconnaissantes pour le soutien indéfectible du personnel médical.
« Un don de soi. MERCI pour tout ce que vous êtes et faites, infirmiers, aides-soignants, médecins », a-t-elle indiqué. « On est débordantes de reconnaissance. Vous applaudir chaque soir, encore et toujours » déclare-t-elle de son home sweet home que Joséphine et elles ont réintégré « apaisées et soulagées ». Et d’adresser aussi de tendres pensées aux parents qui traversent ces épreuves alors même qu’ils ne rêvent que « de voir leurs enfants rêver et rire à la vie ».
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