Edouard Philippe, qui vient d’être désigné Premier Ministre, traumatise les fans de jeux vidéo en raison de sa ressemblance avec le psychopathe Trevor Philips, un héros de de « GTA V ».
Cette ressemblance a été soulignée sur les réseaux sociaux.
« Notre Premier ministre ressemble fortement à Trevor, j’espère ça va nous porter chance », « Vous imaginez même pas que notre premier ministre c’est Trevor de GTA », « Le nouveau Premier Ministre il déchire »
« FLASH : Trevor Philips nommé Premier Ministre. " - sur Twitter, les internautes, très amusés, ont largement commenté la ressemblance.
">16 mai 2017Notre Premier ministre ressemble fortement à Trevor , j'espère ça va nous porter chance mdr
— Majin (@WeisseBruno) https://twitter.com/WeisseBruno/status/864351174727655425
">15 mai 2017Vous imaginez même pas que notre 1er ministre c'est Trevor de GTA #EdouardPhilippe pic.twitter.com/cv5urrwjGI
— AnthonyChrg (@AnthonyChrg) https://twitter.com/AnthonyChrg/status/864234740441899008
">15 mai 2017Qui se rappelle de Philips Trevor dans GTA ?
Bah mtn il est premier ministre d'Emmanuel Macron #EdouardPhilippe pic.twitter.com/yjasFYUsvn— 213° (@jarrivezehef) https://twitter.com/jarrivezehef/status/864185699007856640
">15 mai 2017FLASH : Trevor Philips nommé Premier Ministre. ???????? pic.twitter.com/ZtjeQyu2SR
— Zaknoos ????? (@zaknoos) https://twitter.com/zaknoos/status/864101920457322497
">15 mai 2017Trevor a enfin trouvé un job légal. #EdouardPhilippe #PremierMinistre pic.twitter.com/ROrz0rM987
— dandy_o (@randydandyo) https://twitter.com/randydandyo/status/864107206106546176
Ik y a une quinzaine d’années, on le rappelle, Edouard Philippe a failli en venir aux mains avec Nicolas Sarkozy.
D’après Le Monde, l’ex maire du Havre s’en serait pris à celui qui allait devenir président de la république dans le cadre du congrès fondateur de l’UMP, au Bourget (Seine-Saint-Denis).
Nicolas Sarkozy avait à l’époque tenté de voler la vedette à Alain Juppé, candidat à la présidence du nouveau parti de droite voulu par Jacques Chirac.
Ce jour là, ce soutien du maire de Bordeaux avait alors empêché Nicolas Sarkozy de faire une rentrée triomphale.
Le nouveau chef du gouvernement raconte cet épisode dans les pages du Monde :
« Après les premières prises de parole, on me fait dire que le ministre de l’intérieur veut me voir. Dans la loge, il s’avance vers moi. Il me tape contre le poitrail avec le poing, et lâche : ‘toi, tu ne me refais jamais ça !’ Il continue, je repousse son bras, nous sommes tous les deux déséquilibrés. Cela aurait pu déraper… Finalement, il s’est calmé d’un coup et moi j’étais flageolant », se rappelle-t-il.
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