En réalité, la décision de justice de justice rendue par le tribunal de Grande-Instance de Paris ordonnant le gel d’une partie des royalties, il n’y aurait ni gagnant ni perdant.
Il s’agirait plutôt d’un pas fait vers Laura Smet et David Hallyday, qui contestent les dispositions testamentaires de leur père.
Le rockeur disparu a légué l’intégralité de sa fortune, ainsi que le droit moral sur ses oeuvres à sa veuve.
« Quand Johnny nous a quittés il y a un an , les maisons de disque ont vendu dans les trois semaines qui ont suivi sa disparition à peu près 1 200 000 compilations », a expliqué dans un premier temps Fabien Lecoeuvre lors de son passage sur C News, rappelant que Johnny Hallyday a d’une certaine manière sauvé l’année 2017 en vente disques.
Quant à la décision de justice elle-même, pour l’heure, il n’y aurait ni vainqueur ni perdant.
C’est l’audience du 22 mars prochain qui sera décisive.
« Je pense en tout cas que les juges n’ont pas été insensibles à l’opinion publique », a estimé le journaliste.
Cela devrait peut-être pousser Laeticia Hallyday et ses beaux-enfants à revenir sur la table des négociations.
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