Cœur sur la main, Cyril Hanouna s’est illustré par un geste nombre à l’égard de Gilles Verdez, qui a été condamné dans une affaire de diffamation face à un illustre journaliste.
Il s’agit de Bernard de la Villardière, qui avait fait parler la poudre suite à une accusation d’ « islamophobe » et de ne pas faire son travail.
« Il m’avait attaqué, à propos de l’ensemble des déclarations, critiques, que j’ai faites ici sur son émission », a-t-il indiqué dans le cadre de Touche pas à mon poste.
La particularité de cette poursuite, c’est qu’il a été attaqué seul, et non pas l’émission comme c’est l’usage.
« Il en a tout à fait le droit, mais traditionnellement, on peut attaquer l’émission, ainsi que le producteur, le diffuseur », poursuit-il.
« Il avait un dossier très épais, et il a gagné sur ’islamophobie’, donc j’ai été condamné pour diffamation », se rappelle Gilles Verdez, assurant que l’animateur star de M6 avait perdu sur tout le reste. « Son but c’était de dire il y a un acharnement sur l’émission ».
« Comme il n’a attaqué que moi, j’ai été le seul condamné. En tout, avec les frais de justice, c’était autour des 5000 euros... Donc je m’apprêtais à faire un chèque, quand », Cyril Hanouna et la production ont sorti le chèque.
Ils lui ont dit : « bah non, tu a été condamné, mais c’était pendant l’émission, donc tu ne paies rien, c’est nous qui payons !’ ».
« Et vous m’aviez mis également un très bon avocat à disposition », s’est-il rappelé.
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