Pour construire sa relation avec Dimitri Rassam, le père de son second enfant, Charlotte Casiraghi devrait sans doute s’inspirer de sa belle-mère, l’actrice Carole Bouquet.
C’est en filigrane ce que laisse entendre ’Vanity Fair’, qui revient sur la vie sentimentale qui n’a pas toujours aisée de l’actrice.
Mais elle a finalement trouvé l’équilibre grâce à Jacques Sereys, le fils de Philippine de Rothschild, qui est lui aussi comédien. Charlotte Casiraghi a aussi eu des nombreuses déceptions dont la plus marquante, celle de sa rupture avec Gad Elmaleh, le père de son fils ainé.
Mais pour que sa relation avec le producteur de 37 ans dure, la simplicité devrait être érigée en mode de vie. Ce serait d’ailleurs « le gros reproche » qui lui ferait son homme prétend la publication. Voici qui alimentait l’annulation de leur mariage confortait aussi ce propos.
Par ailleurs, Carole Bouquet a confirmé que la discrétion, loin des radars médiatiques, et une vie faite de simplicité entre Paris et l’ile de pantelleria, où elle créé son propre chai et produit 14 000 bouteilles par an de Moscato passito, est son secret bonheur.
« J’admire la générosité de Philippe, sa gentillesse, son attitude avec les enfants, le savoir qu’il a et que je n’ai pas », avait-elle aussi confié à Paris Match. Ce qui me rend heureuse aujourd’hui, c’est que j’arrive à construire des choses avec l’homme que j’aime, avec sa famille, et avec la mienne ».
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