De la passion des chevaux de Charlotte Casiraghi, la version italienne de Vanity Fair y revient longuement.
Elle explique que l’héritière Grimaldi s’était passionnée pour ce sport lorsque sa maman s’était installée à Saint-Remy, en Provence, juste après la mort tragique de son mari Stefano Casiraghi, rappelle la publication.
Et ça a été une révélation. Pas question pour elle de se passer de ses chevaux.
Si cette discipline lui fait connaître quelques échecs, elle lui permet également de rester humble a rappelé cette fois le magazine "Point de vue", qui affirme qu’auprès de ses chevaux, Charlotte Casiraghi « oublie Rocher, prince et flatteurs ».
« Elle chérit cette école de l’humilité, toute la journée en selle, les chutes dans la boue, les voyages en camion, la demi-tonne de matériel à transporter, beaucoup d’échecs et très peu de victoire » commente le magazine qui relaye ensuite les propos d’Édouard Dutour, qui est lui même cavalier.
« C’est le meilleur sport à faire lorsqu’on est fortuné, ça permet de garder les pieds sur terre", dit-il. "Ça prend un temps fou et le résultat est aléatoire ».
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