S’il y a une chose que Charlotte Casiraghi tient de sa maman, c’est bien son « caractère trempé, mélange de résistance et de bienséance ».
Lorsqu’elle n’est pas occupée avec ses activités protocolaires, Charlotte Casiraghi passe son temps entre Paris et Monaco, a rappelé « Paris Match ».
A Monaco ou à Paris, celle qui a pris du bon temps durant une partie du mois d’août à Cap Ferret avec son complice Dimitri Rassam essaye par ailleurs de promouvoir le travail de ses proches, « la galerie de Victoire de Pourtalès, l’association d’Albina du Boisrouvray, les vêtements de sa belle-soeur, Tatiana Santo Domingo ».
Elle s’investit aussi dans le quotidien de « la Principauté dont elle défend la politique culturelle ».
Il est rappelé à cette occasion, que l’intéressée a lancé il y a près de trois ans « Les Rencontres philosophiques de Monaco ».
Charlotte Casiraghi « trouve du réconfort, portée par les conseils de sa mère, Caroline de Monaco, qui comme elle, a connu « quelques déboires amoureux ».
La princesse du Rocher « a eu sa part de chagrins ». « Du playboy Philippe Junot, dont elle divorce après deux ans d’union mouvementée, à son mariage 100 % gotha avec Ernst August de Hanovre, Caroline a l’expérience des séducteurs, des hommes que l’âge ne rend pas plus sages », déplore l’hebdomadaire avant de prétendre que la jolie brune a hérité de « ce caractère trempé des gens bien élevés, un mélange de résistance et de bienséance.
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