Après avoir été à l’honneur dans "Diva & Donna", qui évoquait son séjour en Sicile chez sa belle-mère, charlotte Casiraghi s’affiche cette fois au top en Une du magazine "Yo Dona", où elle apparait plus filiforme que jamais.
Ses rondeurs de femme enceinte semblent en effet avoir été cachées par Photoshop, un logiciel de retouches d’images.
Le magazine italien revient sur le lancement de sa gamme de bijoux, "Les aimants", en partenariat avec Montblanc", mais il fait aussi cas de son amour de la philosophie et de l’équitation.
« La pratique de l’équitation et ma passion pour le cheval ramènent au fait d’être émergée, on va dire, non pas soi-même, mais dans un environnement particulier, on est confronté à cet autre, le cheval », explique Charlotte Casiraghi.
Et de rappeler à cette occasion que le cheval est à la fois « extrêmement puissant, et extrêmement fragile ».
« Il y a un rapport en fait avec le cheval qui confronte aussi à la fragilité de l’homme. Et le cheval est aussi à la fois puissant et fragile », poursuivait une autre fois celle qui serait en couple avec le producteur Dimitri Rassam, le fils de Carole Bouquet.
« On n’est pas presque convoqué à créer un rapport de confiance pour que le lien puisse se faire donc pour moi il y a quelque chose de très philosophique dans mon rapport au cheval », avait-elle fait savoir.
Au cours de cet entretien, elle expliquait aussi que pour elle « la philosophie est une expérience de la pensée, ce n’est pas un outil pour être heureux ».
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