Pour en finir avec une addiction aux médicaments, évoquée par le magazine Voici, Charlène de Monaco aurait séjour en Afrique du Sud. Elle aurait été isolée.
Le séjour de l’épouse du prince Albert en Afrique du Sud avait fait couler beaucoup d’encre. La princesse aurait entrepris un traitement intensif pour mettre fin à une addiction aux médicaments.
C’est au sein de la prestigieuse Thanda Private Game Reserve, où elle réside depuis plusieurs mois, que la résidence princière s’est transformée en un centre de désintoxication improvisé.
Et deux ans après ses déboires, elle serait toujours fragilisée. Peut-être que c’est la cause de ses petites disparitions et de ses faux bonds au prince Albert.
La princesse, accompagnée à l’époque d’un staff dévoué comprenant des femmes de chambre, des officiers de sécurité, une infirmière, un chef cuisinier et sa dame de compagnie, avait pourtant été complètement isolée. Le domaine de 14 000 hectares de la réserve, véritable prison à ciel ouvert, a offert un environnement sécurisé et propice à la guérison, précisait la publication.
Charlène de Monaco aurait souffert le martyre. Elle était sous la surveillance constante d’un médecin monégasque du centre hospitalier Princesse-Grace, qui supervisait son traitement, tandis qu’un psychiatre sud-africain lui rendait visite quotidiennement.
Cependant, le chemin vers la guérison n’aurait pas été facile pour la princesse. Épuisée par le sevrage, elle a connu des nuits sans sommeil et son moral a vacillé. Malgré ces épreuves, Charlène de Monaco a tenu bon, faisant preuve d’une détermination sans faille pour surmonter son addiction.
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