Finalement, et après avoir gardé le silence durant quelques jours, Charlène de Monaco a rassuré l’unité de son couple alors que le magazine « Public » l’assurait fin mai dernier en fuite du Rocher.
Une crise conjugale a été alimentée. De l’intox.
La première dame s’était envolée en Afrique du Sud pour participer à une campagne contre le braconnage.
En tenue de camouflage, crâne à moitié rasé, la maman des adorables Gabriella et Jacques prenait la pose aux côtés d’un rhinocéros écorné.
« C’est dans ce moments-là que Charlène se sent réellement en phase avec qui elle est. C’est quelqu’un qui aime la nature. Pas une femme de salon », a justifié un proche s’exprimant sous couvert d’anonymat.
Sur son compte « Instagram », Charlène de Monaco a rassuré sur son unité en partageant une photo d’un séjour avec le prince Albert et leurs jumeaux en Afrique du Sud.
Les clichés ont déjà été publiés par le magazine « Point de vue ».
Le magazine "Paris Match" affirmait de son côté que Charlène de Monaco se mettait en colère, une arme secrète face « l’inertie opposée à ses demandes » par le palais. Ses petites crises lui permettraient d’obtenir satisfaction.
La maman de Jacques et Gabriella userait également d’une autre méthode, celle de l’annulation à la dernière minute de ses apparitions. Elle se serait illustrée par ce comportement au mariage de Louis Ducruet, le fils de Stéphanie de Monaco.
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