Brigitte Macron, qui se la coule douce à Fort Brégançon, la résidence estivale des chefs de l’Etat, est supposée avoir échappé à une terrible agression. Un malheur évité de justesse.
’Le Soir Mag’ consacre un long dossier au couple présidentiel, où il est question de ’l’été pourri des Macron, allusion aux « black blocs » qui auraient promis de perturber les déplacements, non seulement du chef de l’Etat, mais aussi de son épouse.
Et au détour de son dossier, le magazine belge prétend que la première dame aurait échappé à une ’agression en règle’, lors d’un déplacement dans les quartiers nord de Marseilles, où elle s’était pourtant rendue à plusieurs reprises.
Un sac poubelle aurait été lancé du troisième étage d’un immeuble à son passage, ’heureusement sans la toucher’. Brigitte Macron aurait été visée. Et depuis, les critiques à son encontre n’auraient faibli.
« Les commentaires injurieux ou violents sur Facebook n’ont pas faibli, au point que la justice française, poursuit aujourd’hui leurs auteurs, comme cet Ardenais de 23 ans, finalement relaxé après avoir appelé ses amis « à prendre les armes » pour a ccueillir l’épouse du président à Reims en mars dernier ’, précise la publication.
Pourtant, Brigitte Macron ne compterait pas relâcher ses efforts.
‘Je n’en ai marre qu’on me dicte quelle cause, je dois soutenir. Je n’ai pas besoin qu’on me dise quelle première dame, je dois être’, aurait-elle lancé à un conseiller d’Emmanuel Macron, alors que celui-ci était encore en campagne.
‘Je fais ce que je veux’, ajoutait-elle.
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