Brigitte Macron a eu peur que ses élèves découvrent son histoire suite à la nomination de son mari au ministre de l’économie, nomination synonyme pour elle de la fin de l’anonymat dont elle jouissait.
D’après une information de l’Express, la professeur de littérature avait commencé par mettre en garde « sa classe de première contre d’éventuelles sollicitations de la presse », et avait alors pris la décision de prendre les choses en main, en se rendant en urgence chez le kiosquier du quartier pour ’cacher Closer’, qui évoquait leur relation.
Brigitte Macron demande « de dissimuler l’hebdomadaire : elle n’a aucune envie que ses classes la regardent à travers ce prisme-là. Non, elle n’est pas cette prof indigne qui aurait séduit son élève ! ».
Par ailleurs, même s’elle est un soutien sans faille pour son mari, Brigitte Macron se défend d’avoir une influence politique sur son homme.
« Je ne suis pas là tout le temps ! Je suis présente aux meetings car Emmanuel aime bien que je sois là, confie celle qui deviendra dans quelques jours première-dame dans les colonnes du JDD. Je l’accompagne uniquement quand je peux aller voir des associations ».
Brigitte Macron met ainsi en doute une allégation de l’Obs qui prétendait qu’elle avait une influence sur son époux, et qu’elle aurait son mot à dire sur le choix de l’entourage.
Ils forment un « couple fusionnel (…) Il ne fait rien sans lui demander son avis. Du recrutement d’un collaborateur au choix d’un costume ou d’une coupe de cheveux, a de son côté déclaré le député Richard Ferrand. Elle gère son agenda personnel. Elle a estimé qu’être à ses côtés était la meilleure façon de ?préserver leur vie à deux ».
Le postulant à l’Élysée, lui, a déjà entériné le statut de sa femme en cas de victoire ? : « Elle aura un rôle, elle ne sera pas cachée, parce qu’elle partage ma vie, que son avis est important, assurait-il début mars. La fonction présidentielle emporte quelque chose qui a une dimension personnelle. »
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