Brigitte Macron, déjà terrifiée par les menaces visant son mari, l’aurait été davantage après avoir découvert que le président de la République aurait « échappé » à un coup d’État.
« Un dangereux individu prévoyait de s’emparer de l’Élysée lors d’un putsch qui a heureusement été déjoué à temps », rapporte le magazine France Dimanche, qui revient sur l’histoire de Démy Daillet, un ancien cadre du MoDem, 55 ans, déjà en prison pour avoir fomenté le rapt de la petite Mia.
Et il prévoyait aussi de s’en prendre au président de la République, qu’il délogerait de l’Élysée à l’aide du peuple.
Cet homme issu de l’ultra droite a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle ».
Comme le précise France Dimanche, il n’est pas le seul, déjà en 2018, un groupuscule lui aussi de l’ultra droite aurait envisagé d’attenter à la vie du président avec un couteau en céramique.
« Une menace réelle, quand on sait que les alarmes des appareils de détection d’objets ne résonnent pas comme quand ce matériau passe sous le portique », indique le magazine people, estimant très facile pour un livreur armé d’un ce type de couteau indétectable par les alarmes de s’introduire à l’Élysée pour apporter par « exemple de la vaisselle un tableau des réserves du mobilier national - des objets précieux dont raffole Brigitte puis passer à l’acte ».
Un terroriste aurait aussi pu se mêler à l’assistance sous une fausse identité lors d’une visite présidentielle, comme celle récente à la Bibliothèque nationale.
Ces pistes ont sans doute déjà été étudiées par les services de protection du chef de l’État.
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