Braquage de Kim Kardashian : Un suspect clé décède juste avant le procès !

En pleine Fashion Week parisienne, dans la nuit du 2 au 3 octobre 2016, Kim Kardashian est victime d’un véritable cauchemar. Des malfrats pénètrent dans sa suite d’hôtel et, sous la menace d’une arme, s’emparent de bijoux d’une valeur astronomique de 9 millions d’euros.

Alors que le procès, prévu entre 28 avril et le 23 mai 2025 s’apprêtait à lever le voile sur cette affaire, un événement imprévu vient tout bouleverser : le décès de Marceau Baum-Gertner, alias "Nez Râpé" ou "diamant brut".

Cet homme de 72 ans, considéré comme l’un des principaux acteurs de ce braquage audacieux, a rendu son dernier souffle. Pour l’heure, les circonstances exactes de sa mort demeurent un mystère.

Cet homme devait comparaître devant les juges dès ce 28 avril, aux côtés de neuf autres accusés, pour répondre de leur implication présumée dans le vol des précieux joyaux de Kim Kardashian.

Son casier judiciaire n’était d’ailleurs pas vierge, puisqu’il avait déjà été condamné par le passé pour vol et recel. Mais ce n’est pas tout ! Peu avant sa disparition, Marceau Baum-Gertner aurait également fait l’objet de menaces glaçantes émanant du crime organisé, selon les révélations du journal Mirror.

Une source proche de l’affaire a confié au Mail Online : « M. Baum-Gertner avait été libéré sous caution après son arrestation pour le vol de Kim Kardashian il y a [huit ans avant la date actuelle], et vivait à Paris, tout en se présentant régulièrement à la police. Son nom figurait sur la liste des accusés pour le procès, et il était très désireux de laver son nom devant le tribunal. ».

Et d’ajouter : « C’était jusqu’à sa mort subite dans le 10e arrondissement de Paris le 6 mars [de l’année en cours]. Il était soupçonné d’avoir eu des liens avec des gangs mafieux du monde entier au sujet des bijoux Kardashian, et ces criminels sont connus pour lui avoir proféré des menaces suite à la médiatisation massive de l’affaire. »

Les éléments de l’enquête révèlent également que le défunt suspect aurait dû se rendre en Belgique pour écouler les 9 millions d’euros de bijoux dérobés. Avant sa mort, il avait d’ailleurs admis s’être rendu à Anvers, en compagnie d’un autre accusé, pour vendre de l’or fondu. Autant de zones d’ombre qui planent sur ce procès hors norme.