Invité de "Quelle époque !" sur France 2, Bernard Montiel s’est confié sans langue de bois sur son avenir après la fin de C8 et sur sa relation parfois compliquée avec Cyril Hanouna.
La disparition de C8 et l’arrêt de "Touche pas à mon poste" ont laissé plusieurs chroniqueurs sur le carreau, dont Bernard Montiel, qui a cependant rapidement retrouvé sa place sur RFM.
Samedi 29 mars, il était l’invité de Léa Salamé et n’a pas hésité à évoquer son aventure dans TPMP et ses liens complexes avec son ancien patron.
Après une longue carrière sur TF1, Bernard Montiel, qui a récemment évoqué sa villa de rêve, avait rejoint "Touche pas à mon poste" en 2014, devenant un chroniqueur régulier de l’émission.
Mais la fermeture de C8 a mis fin à cette collaboration. L’animateur de 67 ans a partagé son ressenti sur cette expérience : "C8 était une belle aventure qui s’est achevée comme ça, avec l’Arcom".
Interrogé par Léa Salamé sur sa relation avec Cyril Hanouna, Bernard Montiel n’a pas mâché ses mots : "Il est assez imprévisible. C’est-à-dire qu’il est “attachiant”. C’est un garçon assez extraordinaire parce qu’il est brillant. Et il a des côtés... parfois j’ai du mal moi-même. D’ailleurs dans l’émission parfois je me tais".
L’ancien animateur de "Vidéo Gag" a toutefois tenu à souligner les qualités de Cyril Hanouna : "Il a un don d’improvisation incroyable. Il est potache. Il s’amuse beaucoup. Moi, je trouve que parfois il y a des sujets avec lesquels on ne peut pas trop s’amuser, mais il s’amuse, il est heureux. Il a une énergie débordante".
Quant à l’avenir de Cyril Hanouna après l’arrêt de son projet sur les plateformes de streaming, Bernard Montiel a avancé une hypothèse : "Je pense qu’il va aller chez W9". Des rumeurs persistantes évoquent des conditions imposées par le groupe M6, notamment celle de ne pas aborder de sujets politiques.
"La politique le passionne effectivement, mais il est très malin. C’est un homme d’entreprise, c’est un patron si vous voulez. Alors peut-être qu’il va devoir s’adapter ou peut-être faire autre chose ailleurs", a ajouté l’ancien chroniqueur.
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