Placé sous protection policière après avoir été taxé d’antisémite, Aymeric Caron refuse d’en dire plus sur cette affaire dans les colonnes de ’VSD’, où elle a livré quelques confidences.
’Je ne peux rien dire’, répond-t-il à une question de ’VSD’ qui lui demandait si il est toujours placé sous protection policière, après avoir reçu des menaces de mort.
’Simplement, je vous livre une réflexion : je fais ce métier en me disait que le risque est lié à la fonction de journaliste. J’ai été reporter sur des zones sensibles. Mais là, je dois dire que le prix est cher quand on s’en prend à mes proches. Pour moi, les limites sont franchies’, lance-t-il.
Le complice de Léa Salamé regrette au passage les accusations d’antisémitisme dont il a été la cible.
’J’ai été écœuré blessé même, après avoir lu ça suite à la venue d’Alexandre Arcady dans l’émission. Il a complètement déformé mes propos et m’a fait passer pour un personnage terrible, odieux, d’en parler, ça me rend malade’, regrette-t-il.
Quelques jours après l’échange musclé entre Aymeric Caron et Alexandre Arcady, le réalisateur avait tenu à apaiser les tensions.
’J’aimerai juste que cette polémique cesse’ avait commenté Alexandre Arcady avant d’évoquer son échange musclé avec Aymeric Caron.
’Les échanges qu’il y a eu avec Aymeric Caron n’avaient aucun lien avec le film, mais aucun lien », affirmait-t-il. « Et c’est la raison pour laquelle la production a très justement coupé cette séquence qui n’avait rien à voir avec l’affaire Halimi », a précisé Alexandre Arcady.
Ces articles devraient vous intéresser :
