Installée aux Etats-Unis depuis deux ans, Amanda Sthers est déroutée par le comportement amoureux des américains.
Elle qui est célibataire, cela ne la réjouit pas.
« Je vis aux USA depuis maintenant deux ans. Et ce que j’y vois, en termes d’amours naissantes, ne me réjouit pas. On rencontre quelqu’un, on sort avec lui, on l’embrasse, mais durant un certain temps - tant que l’amour n’est pas clairement déclaré - rien ne nous empêche de nouer d’autres relations », explique l’ex épouse de Patrick Bruel.
Et d’expliquer ensuite que ce comportement « tue la cristallisation qui se met habituellement en place au début d’une idylle ».
« Pour l’Européenne que je suis, ce n’est pas tenable d’évoluer dans un monde où les émotions de départ ne sont pas respectées », précise la romancière dans les colonnes de Marie-France.
Elle explique avoir tenté une histoire d’amour avec un américain avant de mettre fin à leur idylle. Elle a été déçue.
« J’ai vécu dans une famille qui m’a inculqué une morale judéo-chrétienne, et les fantasmes de princesses Disney : l’amour pour le même homme dure toujours ! Actuellement, je suis célibataire et, au moment de me lancer dans l’écriture de ce livre, cela me faisait peur de me dire que mon idéal pouvait ne pas exister (...) Je ne parviens pas à être cynique quant à l’infidélité », lâche-t-elle.
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