D’une surprenante expérience durant son enfance, celle de déléguée de classe, Alexandra Lamy en parle dans "50 min Inside", le rendez-vous de Nikos Aliagas sur TF1.
"Alors comment vous étiez comment gamine ? A l’aise, déléguée de classe à l’école ?", est-il demandé à la révélation d’"Un gars, une fille", sur France 2.
"A non, on m’a forcée à être déléguée de classe, ce qui était une catastrophe, car j’étais nulle à l’école. Etant moi-même dernière, je n’avais aucun poids au niveau des professeurs pour défendre les autres élèves", a-t-elle confié, avant de préciser la manière dont elle a été désignée.
"Parce que j’étais toujours la bonne copine, en fait. J’avais la tchatche, j’étais le petit pitre de la classe", a indiqué celle qui est actuellement à l’affiche de Belle-fille, la première réalisation film de Méliane Marcaggi dans lequel elle donne la réplique à Miou-Miou et Thomas Dutronc.
Quelques jours plus tôt, l’actrice déplorait les salves reçues sur les réseaux sociaux à cause de Jean Dujardin . Elle avait commenté le départ d’Adèle Haenel des César.
"Je me suis pris des torrents d’injures et de sous-entendus débiles par rapport à mon ex. Les gens y ont vu de la jalousie ou de la rancoeur, expliquait-elle.
dans les colonnes du magazine Elle. Je n’avais même pas mis #Polanski ! Tout ça est aberrant. De toute façon, on ne peut plus rien dire. Quoi que tu dises, tu te fais défoncer."
Ces articles devraient vous intéresser :
