Albert de Monaco aurait eu à recadrer ses nièces, Charlotte Casiraghi et Pauline Ducruet, qui se seraient senties à l’étroit à Monaco. La fille de Caroline « calme » la tempête.
« Ce qui m’oppressait le plus, c’était la “petitesse”. Très vite, je me suis sentie à l’étroit. À Monaco, quand on a fait trois restaurants et deux cafés, on a fait le tour », lançait Pauline Ducruet.
Et sa cousine aurait déploré la pression dont les femmes font l’objet y compris dans son milieu, dans le média suisse « schweizer-illustrierte ».
Albert de Monaco avait alors rappelé qu’être monégasque impliquait aussi des devoirs.
« Par son travail, en Principauté ou à l’extérieur, cela implique de faire honneur à son pays dans la continuité de ceux qui nous ont précédés et dont la vie, à certaines périodes, était moins facile », lançait le prince.
Et cette semaine, lors d’un entretien avec Monaco-Matin, la femme de Dimitri Rassam semble lui répondre, en se réjouissant de s’être mariée à Monaco. Une manière de rendre hommage à la principauté.
« C’est quelque chose qui compte énormément pour moi. Oui, pas dessus tout, c’est le fait d’avoir réuni les personnes qui comptent pour moi », a-t-elle indiqué
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