Charlène de Monaco ne serait toujours pas remise d’aplomb. Et durant son passage en Angleterre pur les funérailles de la reine Elizabeth, elle aurait peut-être contracté un fichu virus.
Charlène de Monaco a laissé ses jumeaux à Monaco pour mettre le cap sur l’Afrique du Sud, son pays d’origine, où elle compte rester cinq jours pour défendre la Croix-Rouge sud-africaine et présenter Fondation Princesse Charlene de Monaco.
Sa visite a débuté par l’école primaire Gugulesizwe à Daveyton, occasion d’aller à la rencontre des élèves et des professeurs pour évoquer son engagement.
Pour honorer sa visite, un arbre a également été planté dans le jardin de l’établissement.
Il est rappelé à cette occasion que les missions de la Fondation Princesse Charlène de Monaco visent à sensibiliser l’opinion publique aux dangers de l’eau, enseigner aux enfants les mesures de prévention et leur apprendre à nager.?Son objectif prioritaire est de sauver des vies en luttant contre les noyades.
« L’Organisation Mondiale de la Santé a estimé qu’une personne décède par noyade dans le monde chaque 85 secondes ».
Lors de son séjour, l’épouse du prince Albert s’est livrée dans le cadre d’une émission locale, où elle a parlé de son amour de l’Afrique et de son enfance, au Zimbabwe, qui était en proie à la guerre civile.
Son enfance, Charlène de Monaco en avait déjà parlé dans les colonnes de Vanity Fair.
« Pas d’Internet, pas de téléphone portable. Mes amis, mon monde, s’étaient évanouis du jour au lendemain. À Citta del Capo, nous avons vécu en plein Apartheid, les Blancs séparés des Noirs, chose que je n’avais jamais connue », avait-elle notamment indiqué avant de poursuivre : « Et puis j’avais le manque de la forêt, de la nature, de pouvoir aller pieds nus observer le petit d’un rhinocéros, en douce pour ne pas me faire gronder par ma mère. Pour qui a vécu ainsi, en Afrique, impossible de ne pas en avoir la nostalgie ».
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