« L’année des séparations », titre le magazine avant d’évoquer « Rottweiler contre Flamby, le fight ! ».
« C’est la séparation la plus violente et la plus médiatique de l’année. Elle apprend qu’elle la trompe dans la presse, elle se venge en publiant ses pires secrets dans un livre salé », poursuit l’hebdomadaire.
« Faire dix fois plus fort que Nicolas et Cécilia, on en rêvait pas. Ils l’ont fait quand-même », est-il indiqué.
A l’époque de cette séparation, « Gala » assurait que si Valérie Trierweiler était « populaire », elle serait sans doute toujours à l’Elysée, en dépit des escapades de son homme.
Si la popularité de Valérie Trierweiler était au rendez-vous, il aurait été hors de question pour elle de lâcher le morceau et serait peut-être toujours à l’Elysée.
« Mais ce qui était possible pour un couple anonyme à défaut d’être normal, ne l’est pas pour un chef d’État et sa compagne », rapportait « Gala » avant de poursuivre : « Surtout quand elle est la plus détestée de la Ve République ».
« Sans aucun appui populaire, Valérie Trierweiler a choisi la voie de la raison, la séparation et le retour à sa vie d’avant », est-il rappelé.
« Gala » confirmait déjà que l’ex première dame préparait un livre.
« Il s’annoncerait forcément explosif et pourrait bien mettre un terme à cette entente cordiale », affirmait la publication.