Sylvie Ortega Munos semble se lâcher sur Sheila, « sa belle-mère », à laquelle elle reprocherait de ne pas s’être occupée de son fils, Ludovic Chancel, décédé à l’âge de 42 ans des suites d’une overdose médicamenteuse.
Et c’est sur Facebook, réseau social sur lequel elle est très active, qu’elle balance.
« elle voyait en « lui » un enfant persécuteur qui a fait en sorte qu’elle ‘rate’ sa vie en vue de son échec sentimental », écrit la jeune femme, qui a partagé la vie du fils unique de Sheila durant sept ans.
« Sa propre insatisfaction à ‘elle’ et son immaturité à ‘elle’,
Frustration globale par rapport à sa propre vie.
Un poids très dur à porter pour lui et qui faisait écho et qui constituait quelque chose de révoltant parce qu’il a dû se battre toute sa vie pour avoir un bras de bonheur et pour ne pas être confronté à l’abandon au quotidien », écrit Sylvie Ortega Munos, qui dévoile très souvent des photos sur lesquelles on la découvre avec Ludovic Chancel.
Et d’ajouter : « il me disait « j’ai atteint les limites de l’angoisse maximales ».
« Indépendant affectif avec beaucoup de culpabilité et en même temps d’abandon
À aucun moment rien de sécurisant .. une image dévalorisante ..
Toujours à la frontière de la vie et la mort , à tout moment il pouvait basculer dans "la non vie », conclut la jolie brune.
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