Superbus - Jennifer Ayache s’explique sur la polémique des « bouseux »
10 juin 2017 - 15h00 -
Musique -
Ecrit par : Rédaction LeGossip
Après la polémique qu’avait suscité les propos controversés de Superbus, le leader du groupe Jennifer Ayache a tenté d’éteindre le feu en s’expliquant sur cette affaire.
Il reproché au groupe pop rock d’avoir traité les festivaliers de F’Estillac de « bouseux ».
« C’est le cœur serré et la gorge nouée que je viens de passer ces dernières 48h. Après 3 jours d’échanges entre notre tourneur, la mairie d’Estillac et nos équipes il a été établi que Superbus et la municipalité d’Estillac ont conjointement été dupés » a déclaré la jeune femme de 33 ans sur son fil Instagram.
« C ?e qui me peine profondément c’est l’acharnement de certains médias à vouloir faire passer Superbus pour un groupe irrespectueux (...) Que j’ai pu paraître désagréable lors en balances l’après-midi, je le reconnais ; à ma décharge je venais de comprendre que la "promo" PBO pour laquelle nous pensions être programmé, était en fait un festival live. Superbus a été engagé pour une prestation de 5/6 titres, soit une vingtaine de minutes. Nous avons découvert à notre arrivée à Estillac et à moins de 3h du show, que le promoteur local avait vendu 45 mn à la municipalité » a continué l’artiste.
Et de rajouter : « après que nous ayons été injustement humiliés devant notre public par l’organisateur, les choses ont dégénéré en loge, et, effectivement, un des musiciens a lancé le fameux « bouseux » sous l’effet de la colère, initialement adressé au promoteur. Il s’en est excusé immédiatement ».
« La colère étant mauvaise conseillère, les propos peu agréables qui ont été prononcés à l’encontre de la commune et des bénévoles lors de la soirée, ne doivent pas faire oublier que Superbus et nous, organisateurs du festival sommes les victimes des erreurs de cet agent intermédiaire », conclut-elle.
" style=" color:#000; font-family:Arial,sans-serif; font-size:14px; font-style:normal; font-weight:normal; line-height:17px; text-decoration:none; word-wrap:break-word;" target="_blank">Chers tous, Je souhaite revenir sur cette polémique qui nous cause beaucoup de tort et de peine C’est le cœur serré et la gorge nouée que je viens de passer ces dernières 48h. Après 3 jours d’échanges entre notre tourneur, la mairie d'Estillac et nos équipes il a été établi que Superbus et la municipalité d'Estillac ont conjointement été dupés. Le maire d’Estillac va publier un communiqué prochainement et des actions juridiques vont être engagées. ?C ?e qui me peine profondément c’est l’acharnement de certains médias à vouloir faire passer Superbus pour un groupe irrespectueux et hautain envers son public. Que j’ai pu paraître désagréable lors en balances l’après-midi, je le reconnais ; à ma décharge je venais de comprendre que la "promo" PBO pour laquelle nous pensions être programmé, était en fait un festival live. Superbus a été engagé pour une prestation de 5/6 titres, soit une vingtaine de minutes. Nous avons découvert à notre arrivée à Estillac et à moins de 3h du show, que le promoteur local avait vendu 45 mn à la municipalité, que c’est un festival et en aucun cas pas une date de promo. Nous sommes montés sur scène malgré les circonstances. A notre sortie de scène, le promoteur s’est indigné des 6 titres interprétés devant le maire. il a alors improvisé un « stand up » sur scène, se dédouanant de « la prestation qui vient de s’accomplir sous vos yeux etc … ». Alors oui, après que nous ayons été injustement humiliés devant notre public par l'organisateur, les choses ont dégénéré en loge, et, effectivement, un des musiciens a lancé le fameux « bouseux » sous l'effet de la colère, initialement adressé au promoteur. Il s'en est excusé immédiatement. On peut raconter des histoires différentes et infinies en sortant les choses de leur contexte… Mais je refuse de laisser dire que nous avons manqué de respect au public et au festival. Nous aurions pu choisir de ne pas faire cette prestation, mais nous avons décidé de faire ce pourquoi nous étions venus, avec ce que nous avions comme moyens à disposition et du mieux que nous avons pu. En 17 ans de carrière, non seulement nous n’avons jamais donné une seule représentation
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