Stéphane Bern : Proposition en or à La Zarra après son geste polémique

Invité d’Europe 1, Stéphane Bern a livré un conseil à La Zarra pour se faire beaucoup d’argent : Lancer des t-shirts « avec un ‘toz’ pour se faire de la thune ». La chanteuse ne serait pas près de suivre ses conseils.

Ce samedi 13 mai, certains téléspectateurs ont été stupéfaits par la réaction de La Zarra, la représentante de la France à l’Eurovision suite à l’annonce des résultats du concours. Face caméra, elle a adressé un « doigt d’honneur » à des millions de personnes devant leur écran.

Rapidement, la polémique a éclaté, et l’artiste canadienne a tenté de s’expliquer en affirmant que son geste avait été mal interprété, ajoutant qu’il s’agissait d’une expression de déception utilisée entre amis, un Toz, une expression d’Afrique du Nord.

La Zarra est d’origine marocaine.

Malgré ses explications, cela n’a pas convaincu grand monde.

Invité dans l’émission « Culture Médias » sur Europe 1, Stéphane Bern, qui présentait le concours pour France 2, a donné son point de vue sur cette affaire. Le spécialiste des têtes couronnées a en effet commenté le concours et a avoué n’avoir pas immédiatement remarqué le « doigt » de la Zarra, en direct.
Stéphane Bern s’en était rendu compte suite à la polémique née sur les réseaux sociaux.

Il a révélé qu’il y avait eu une réunion de crise impliquant Christian Louboutin, le service de presse et Alexandra Redde-Amiel, la cheffe de la délégation française. C’est là qu’il a découvert la signification du « toz », un doigt d’honneur en Afrique du Nord.

Stéphane Bern, qui a connu une grosse frayeur, a tenté d’apaiser la situation en expliquant que ce geste était perçu de manière différente selon les générations et les cultures, et il a ajouté, avec humour, que l’artiste québécoise pourrait même envisager de lancer des t-shirts « avec un ‘toz’ pour se faire de la thune ».

Malgré les critiques reçues, Stéphane Bern ne souhaite pas accabler La Zarra, rappelant que la France est souvent perçue comme arrogante et mauvaise perdante. Les critiques sont donc à relativiser.