Durant ses années étudiantes, la magistrate à la cour des comptes s’était trouvée dans le collimateur de Nicolas Sarkozy et sans doute de son épouse, Carla Bruni, après des mauvaises blagues, exhumées par Marianne, qui dévoile une facette de sa personnalité dans les colonnes de son édition de cette semaine.
Celle qui aurait perdu son bébé appelait l’ex-chef d’État « devant ses amis en mettant le haut-parleur, se faisant passer pour sa maîtresse ».
Elle aurait insisté à plusieurs reprises, et avait fini par être menacée par le mari de Carla Bruni, qui aurait envisagé de faire appel aux services de sécurité.
La conseillère politique d’Eric Zemmour a été séduisante par le sarkozysme de 2012 à sa sortie du lycée. Elle adhère à l’UMP, « se lie avec le fils, Louis Sarkozy ».
« C’est l’époque où l’étudiante, qui dévore Romain Gary et Albert Cohen, se décrit sur les réseaux sociaux comme « obsédée textuelle », « comédienne », « séguiniste et bonapartiste ». Elle tente l’École normale supérieure, en vain, s’inscrit à l’école de théâtre du Cours Cochet, puis entre à Sciences Po en 2014 ».