Le Parisien a mis à l’honneur le chef de l’État, occasion de répondre à un surprenant mystère en lien avec les habitudes de sécurité d’Emmanuel Macron lors de ses déplacements aériens.
L’Airbus A330‑200, livré en 2010 sous l’ère de Nicolas Sarkozy, est décrit comme un "petit Élysée volant", équipé de soixante fauteuils business, d’une chambre avec lit double, d’un dressing, d’une douche pour le Président, ainsi que d’autres aménagements luxueux.
Pourtant, malgré les normes de sécurité strictes, Emmanuel Macron semble réticent à boucler sa ceinture de sécurité à bord.
Une explication potentiellement révélatrice émerge d’un ouvrage collectif dirigé par Sébastien Le Fol, intitulé Les Lieux du pouvoir : Une histoire secrète et intime de la politique. Selon cet ouvrage, Macron aurait développé une aversion pour le port de la ceinture de sécurité après une expérience traumatisante pendant sa première année à l’ENA.
En effet, lorsqu’il fut envoyé en mission après un crash aérien au Nigeria en 2002, il découvrit que certaines victimes avaient été sectionnées par leur ceinture de sécurité, au lieu d’être protégées par elle.
« Conduit à la morgue, Emmanuel Macron découvre que certains corps, calcinés, ont été coupés en deux par la ceinture qui était censée les protéger », a insisté la publication.