L’image du prince Albert serait égratignée par une « sombre affaire de call-girls" à Monaco ! Le Sass’ Café condamné, et le mari de Charlène de Monaco est sur leur liste de clients VIP !
Comme le rapporte le magazine France Dimanche, le « Rocher » est secoué par un nouveau scandale qui égratigne l’image de la Principauté et, indirectement, celle de son souverain.
Le Sass’ Café, un établissement de nuit très prisé par la jet-set internationale à Monaco, a été condamné pour proxénétisme par la cour d’appel de la Principauté.
Cette condamnation, qui annule une relaxe prononcée en première instance l’année dernière, est lourde de conséquences pour l’établissement et ses dirigeants.
Son patron, Samuel Trèves, et son ancien gérant, Pascal Cotillon, ont ainsi écopé d’un an de prison avec sursis et d’une amende dont le montant n’est pas précisé. Le restaurant devra pour sa part verser la somme de 18000 euros.
Mais cette affaire secoue particulièrement le Rocher pour une raison inattendue : la prostitution (essentiellement féminine) est en effet autorisée à Monaco, sous certaines conditions, et les travailleuses du sexe sont connues et enregistrées par les autorités.
Dans ces circonstances, pourquoi une condamnation aussi lourde pour un établissement de nuit ? S’interroge la publication.
Selon la cour d’appel, le Sass’ Café n’aurait pas suffisamment régulé la présence des call-girls.
L’établissement aurait davantage "favorisé" que simplement "toléré" leur activité, dans le but d’inciter les clients à consommer sur place.
L’instance judiciaire évoque même une "politique institutionnalisée", contraire à la loi monégasque qui interdit à quiconque de "faciliter l’engagement d’une interaction entre une prostituée et un client".
Cette décision s’appuie notamment sur les témoignages de trois anciens serveurs qui auraient reconnu avoir perçu des pourboires et des cadeaux de la part des prostituées habituées des lieux. Une « duplicité condamnable » est évoquée.
Cette "zone grise" entre ce qui est légal ou pas dans cette affaire a fait réagir vertement l’avocat du Sass’ Café et de son patron, qui dénonce l’hypocrisie de la Principauté sur le sujet.
Mais le problème le plus délicat dans cette « sombre affaire de call-girls », réside dans un détail troublant pour l’image du souverain monégasque, Albert II, qui s’était récemment livrée sur son mariage avec Charlène de Monaco.
Cet établissement affiche sur son site internet une liste de clients prestigieux. Et parmi eux, nommément cité : le prince Albert II en personne !
Son nom apparaît aux côtés de stars internationales comme Beyoncé et Jay-z, Will Smith, Lady gaga, Ronaldo ou Neymar.
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