Meghan Markle refuse d’accompagner Harry au Royaume-Uni, son excuse sur mesure révélée
Meghan Markle ne devrait pas accompagner le prince Harry lors de son prochain voyage au Royaume-Uni pour les Invictus Games.
Qui en veut à Meghan Markle ? L’épouse du prince Harry sous haute surveillance
Meghan Markle aurait été la cible de graves menaces de mort alors qu’elle vivait au Royaume-Uni, selon les propos d’un ancien responsable de la brigade anti-terroriste britannique, rapporte le magazine Gotha dans son édition de cette semaine.
La Duchesse de Sussex, qui ne devrait pas faire son retour à Londres pour le couronnement de Charles III recevait régulièrement des « menaces dégoûtantes à prendre très au sérieux, comme des projets de kidnapping ou d’assassinat… », a-t-il confié.
Il s’agit d’une information révélée par The Sun. C’était du temps où l’épouse de l’épouse du prince Harry séjournait à Londres avec sa femme.
Les autorités compétentes auraient alors renforcé considérablement la sécurité et la protection rapprochée de l’actrice américaine.
Plusieurs personnes se sont révélées menaçantes à son égard et ont même été poursuivies en justice, puis jugées. Un groupe néo-nazi avait même projeté d’enlever le couple Harry-Meghan et d’exécuter le fils du roi Charles III.
Peu après la mort de la reine Elizabeth II, des internautes avaient également pris pour cible Meghan Markle en réalisant un photomontage sur lequel elle portait un t-shirt à l’effigie de l’album du groupe de rock The Smiths, où il était écrit « The Queen is dead ». Ces menaces auraient certainement contribué à la décision de Meghan Markle et le prince Harry de quitter le Royaume-Uni pour s’installer aux États-Unis.
Désormais, la famille serait suivie et protégée par quatre agents de sécurité, jour et nuit, lorsqu’elle se trouve aux États-Unis comme au Royaume-Uni. Ces révélations mettent en lumière le côté sombre de la notoriété de la famille royale britannique et soulignent l’importance de la sécurité des personnalités publiques face aux menaces de plus en plus fréquentes de nos jours.
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