Si le prince Harry a réussi à canaliser son énergie et son agressivité, c’est grâce à la boxe, un sport qu’il pratique suite aux conseils de son frère, le prince William.
« C’est vraiment bien pour canaliser votre agressivité. Ca m’a vraiment sauvé, parce que je pouvais frapper quelqu’un à tout moment », confie le prince selon les propos rapportés par Ici Paris.
Et de préciser ensuite que pour se remettre d’aplomb, le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique s’était aussi enrôlé dans l’armée en 2005.
Celui qui partage la vie de Meghan Markle depuis près d’un an a été déployé aux troupes au sol en Afghanistan puis en tant que pilote d’hélicoptère.
De cette expérience, il en garde un souvenir déterminant.
« Ces expériences resteront avec moi pour le reste de ma vie, et j’en serai toujours intensément reconnaissant », se réjouit le prince qui affirmait il y a quelques jours avoir pensé à quitter la famille royale, lassé par la pression.
D’ordinaire discret et fuyant les médias comme la peste, le chéri de Meghan Markle a laissé une journaliste du Daily Telegraph, Angela Levin, faire son entrée dans son intimité, de l’accompagner pendant toute une année, non seulement lors de certains de ses déplacements, aussi à Kensington Palace.
« Il y a eu une période où je voulais en sortir, puis j’ai décidé d’y rester et de m’y créer un rôle », confie-t-il, sans toutefois préciser en quoi consiste cette démarche.
Sa place dans la royauté, c’est en poursuivant l’action de sa mère qu’il l’a trouvé, auprès des blessés de guerre et des enfants malades.
« Nous ne voulons pas être une bande de célébrités, nous voulons jouer un rôle réellement utile, assure-t-il encore. William et moi sommes incroyablement passionnés par les causes que nous soutenons, et elles ont été choisies parce qu’elles se trouvent sur le chemin que nous a montré notre mère » a-t-il conclu non sans émotion.
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