Le duc du Sussex s’était illustré à la mi-janvier par une plainte déposée à l’encontre du gouvernement britannique afin que sa sécurité soit assurée lors de ses déplacements en Grande-Bretagne. Les raisons ont été précisées par ses avocats.
« À la naissance, le prince a hérité d’un risque pour sa sécurité, à vie », a précisé l’un de ses avocats, rappelant que le mari de Meghan Markle demeure sixième dans l’ordre de succession au trône.
Le prince Harry a effectué deux missions en Afghanistan et sa femme a été ciblé par des menaces extrémistes et néonazies ».
Comme le rappelle cette semaine, le magazine Closer, le duc du Sussex se dit prêt à financer « cette protection policière », qui est normalement à la charge du contribuable britannique, mais à condition « qu’elle ait accès aux renseignements nécessaires pour assurer la sécurité de sa famille ».
Cela implique que ses gardes du corps aient accès aux bâtiments royaux et à certains secrets liés aux protocoles de sécurité de la famille royale.
La police britannique serait réticente à l’idée de partager ce genre de secret.
Si le prince Harry a entamé cette démarche judiciaire, ce serait dans le but de se rendre en juin prochain à Londres pour le jubilé de la reine.
Elizabeth II a désormais quatre mois pour répondre à cette requête.