La première dame aurait tenté de maintenir le contact avec ce soutien de première heure du président de la République, que la première dame l’appelait mon Gégé.« Collomb a continué de communiquer avec elle, mais elle n’a pas pu réparer une relation qui s’était distendue avec le temps » racontait un proche, qui a décidé de se confier sous le sceau de l’anonymat.
D’après le Point de cette fois, Gérard Collomb, agrégé de lettres classiques issu d’un milieu ouvrier, aurait sans doute éviter à Emmanuel Macron la crise des Gilets Jaunes.
Il est présenté comme un ovni politique, « une sorte de socialiste de droite, qui avait choisi de s’allier à Lyon avec le MoDem et de composer avec LR ».
« Difficile de ne pas penser qu’avec le départ de Collomb, qui coïncide d’ailleurs avec l’émergence des Gilets jaunes, le gouvernement a perdu à la fois en ancrage populaire et en franc-parler », a précisé la publication.
Pour Le Point, il manquerait une sorte de Bernard Tapie au chef de l’État, un homme qui qu’il a qualifié après sa disparition des suites d’un cancer généralisé de « force. Une volonté. Une rage de vaincre qui semblait dire à tous ceux qu’il croisait : “Gamin, tout est
possible” ».