Porteur d’un profond « mal-être », Nicolas Bedos, qui revient sur nos écrans avec une nouvelle réalisation, Mascarade, aurait fait face à une mort atroce. Il « s’est jeté par la fenêtre ». « Six tentatives de suicide », à déplorer.
Gérard Depardieu fait dans la confidence dans Le Point, à l’occasion de la sortie de son livre "Ailleurs". Le confinement, la religion, la politique font partie des thèmes abordés. Son point de vue semble proche de celui de Nicolas Bedos, qui a lancé un appel à la désobéissance contre les mesures sanitaires pour enrayer le Covid-19.
Gérard Depardieu ne lance pas d’appel, mais avoue ne pas avoir peur de ce fichu virus.
"La sauvagerie du confinement, c’est que les politiques ne savent pas où ils sont ni ce qu’est ce p**ain de Covid. Il y a eu un paquet d’âneries de dites depuis mars", a-t-il lancé, avant de marteler sa détestation des politiques pour la simple raison qu’il a horreur qu’on s’occupe de lui.
Pour autant, il continue de respecter les gestes.
"Mais on nous prend pour des enfants", ajoute celui qui refuse de rencontrer le président de la république Emmanuel Macron.
"Quand je vois que les Français seraient favorables au rétablissement de la peine de mort. Ils sont tapés", a-t-il par ailleurs lancé.
Au cours de cet entretien, Gérard Depardieu a reproché aux Français de ne pas de lire de romans, mais des livres de développement personnel.
"Pas seulement les Français ! Tous les Occidentaux. ’Rester positif, c’est l’obsession" de notre époque. Nous sommes dans une m**de terrible", indique Gérard Depardieu.
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