« Heureusement, qu’elle est là pour accompagner les gens bousillés par cette crise », écrit l’écrivain, comédien et réalisateur sur sa story Instagram, quelques minutes après avoir relayé le témoignage d’une jeune femme qui n’a pas pu voir son oncle en phase terminale de cancer.
« Vous êtes un des rares à vous opposer à cette dictature », a-t-elle indiqué, en référence à Nicolas Bedos, qui avait aussi très mal vécu le premier confinement. « Je sors de l’hôpital de Charlon sur Saône où je souhaitais rendre une dernière visite à mon oncle hospitalisé depuis hier pour une fin de vie de cancer ».
« Aucune visite n’est possible car il n’y a aucun médecin pour délivrer une autorisation de visite. J’ai honte d’être Française et visite dans une société déshumanisée ». Une lueur d’espoir est évoquée par « Le Parisien ».
« A partir d’aujourd’hui, 500 000 doses du vaccin Pfizer doivent arriver en France. L’exécutif veut s’assurer que les réassorts se dérouleront
comme prévu », rapporte le quotidien. La fin du cauchemar ?
« Enfin, à l’approche de la Saint-Sylvestre, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, doit préciser le dispositif policier prévu pour faire respecter le couvre-feu et dissuader les Français d’aller faire la bringue. Ce sera la chasse aux soirées sauvages et interdites ».