Emmanuel Macron comparé à OSS 117 : Jean Dujardin s’en amuse
Jean Dujardin semble se moquer gentiment d’Emmanuel Macron, en relayant sur son compte Instagram une parodie du chef de l’État.
Jérémy Frérot, cash sur ses galères financières
Il y a des tournants dans une vie qui laissent des cicatrices profondes. Pour Jérémy Frérot, ce fut celui du passage à une carrière solo, après la fin des Fréro Delavega, duo mythique formé avec Florian Garcia, dissous d’un commun accord en 2017. Mais derrière le sourire de l’artiste à la voix douce se cachent des moments sombres, marqués par les doutes, la solitude... et même les problèmes d’argent.
Invité la semaine dernière dans Un dimanche à la campagne, l’émission de Frédéric Lopez sur France 2, celui qui partagerait la vie de Shy’m s’est livré à cœur ouvert. Entre deux confidences, dans ce coin paisible de Fontainebleau, il est revenu sur une période particulièrement difficile de sa vie.
Alors qu’il venait de quitter sa formation pour devenir professeur d’éducation physique afin de se consacrer entièrement à la musique, tout ne s’est pas déroulé comme dans un conte de fées.
Loin des projecteurs et des applaudissements, il a connu des fins de mois très compliquées. « C’était tellement dur que tous les week-ends, je devais payer un billet de train pour rentrer chez moi, dans le Sud-Ouest. Trop triste à Saint-Denis... Mon salaire n’est pas dingue... Je deviens interdit bancaire parce que trop d’allers-retours à 160 euros... », confie-t-il.
Malgré cette descente aux enfers discrète, le papa de deux enfants, nés de sa relation avec Laure Manaudou n’a jamais cessé de garder une tendresse intacte pour l’époque de son duo avec Flo.
« Je suis nostalgique... J’y retournerais. Oui, être à deux, c’est toujours plus kiffant en fait, je n’aime pas être tout seul... On s’écrit beaucoup. Après, on n’a pas les mêmes vies maintenant, mais je suis très curieux de ce qu’il vit... », avoue-t-il.
Et d’ajouter : « Je l’aime de tout mon cœur... Il est dans ma peau, ma chair, c’est gravé à vie. Je ne pourrais jamais oublier ça. Je pourrais toujours me dire : "Ah peut-être un jour, on se fera un petit kif..." ».
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