Léa Salamé a posé ses valises au cap Corse avec sa famille. Après « les débats, la détente »… Mais l’attitude de son homme, Raphaël Glucksmann, a surpris. Il s’est caché le visage lorsqu’il a surpris les paparazzi.
Léa Salamé a fondu en larmes après avoir essuyé de nombreuses critiques et insultes racistes à la suite de son interview de Carlos Ghosn, l’ancien patron de Renaud, au Liban.
Ce pénible épisode, la journaliste de France 2 et France Inter y revient dans le podcast de France info, intitulé Au comptoir de l’info.
Il a été question de faire le bilan de l’année.
Léa Salamé rappelle son interview réalisée au Liban en janvier de l’ex-patron de Renault, Carlos Ghosn. Cet entretien a été perçu sur les réseaux sociaux comme consensuel. Une blessure pour la maman de Gabriel .
« Si j’ai une blessure... J’accepte les critiques, je les comprends et c’est normal, je connais le deal. Sur l’interview de Carlos Ghosn, je vous assure que c’est une blessure. C’est injuste. Cette interview dure une demi-heure et c’est monté très très haut à la direction de France Inter parce que moi je voulais partir ! », a-t-elle confié.
Léa Salamé déplore avoir été plantée par sa direction. Elle s’est même sentie lâchée.
« Là, c’est une demi-heure d’interview où je pose toutes les questions et pendant 2 minutes, je change de ton. France Inter prend ce morceau-là et le diffuse sur les réseaux sociaux », se rappelle-t-elle. Dans la foulée, elle a été qualifiée de « sale p*te », et entendu des « rentre chez toi ! ».
« J’ai vu des trucs racistes, j’ai vu des trucs sexistes... On a inventé que c’était le meilleur ami de mon père ! Le racisme, ça m’a fait mal. Je n’ai pas envie de lire des trucs comme ça. Ça me blesse, j’ai pleuré », a—t-elle.
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