Citée par le magazine « Paris Match », où son Johnny Hallyday est une nouvelle fois à l’honneur, Laeticia Hallyday reconnait quelques frayeurs en pensant à la maladie du père ses filles, Joy et Jade.
Le rockeur de 74 ans doit en effet composer avec un cancer des poumons qui lui aurait été diagnostiqué en octobre dernier.
Et lorsqu’il fait face à son public, l’artiste arrive à faire oublier la maladie, comme transformé par les projecteurs.
Mais le soir venu, sa chère et tendre reconnait avoir peur pour lui.
La nuit, la peur reprend en effet ses droits. « Je suis terrifiée. Mais les idées noires et les pleurs, je les chasse », confie Laeticia à ses proches.
Parfois pourtant, comme l’explique Paris Match, « l’insomnie s’invite ».
« Alors, elle se plonge dans les livres. Des ouvrages sur la résilience, cette capacité à surmonter les épreuves et en ressortir encore plus fort encore », indique le magazine.
D’après Closer, Laeticia Hallyday, qui épaule son mari à chaque concert des Vieilles Canailles, tremble pour lui.
La jolie blonde, « qui protège son mari, de toutes ses forces, tremble pour lui à chaque concert. Elle redoute qu’en une seconde son corps fragilisé ne le trahisse, que l’épuisement le fasse vaciller », indique le magazine people dans son numéro du 16 juin.
Et de préciser ensuite que jusqu’à son dernier concert qui se déroulait le 10 juin dernier, le taulier de 74 ans était « angoissé ».
Pour faire plaisir à ses fans, il a tant donné au début. Mais au bout de trois chansons, le rockeur a été contraint de sortir de scène, ‘sans doute pour reprendre son souffle ».
Il est supposé souffrir le martyre. Mais Johnny Hallyday tient le coup pour ses admirateurs, et cela même si chanter « lui demande des efforts surhumains ».
Au cours de la première demi-heure du spectacle, Johnny Hallyday « a dû s’absenter à deux reprise, trois chansons ont alors été interprétées par Dutronc et Mitchell – mais notre Jojo national est revenu pour entonner son emblématique Quelque chose de Tennessee, le septième morceau de la soirée ».
De temps en temps, il a dû « chanter assis pour ménager ses forces ».
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