En janvier dernier, « Paris Match » expliquait que la veuve de Johnny Hallyday avait été contrainte de faire son retour à Los Angeles pour ne pas s’attirer les foudres des autorités américaines et de risquer de perdre son statut de résident permanent aux Etats-Unis.
Et il était par ailleurs affirmé que la jolie blonde ne pouvait plus quitter le territoire américain avant le 15 juin.
Ce propos est mis en partie en doute par « 20 Minutes ».
Si Laeticia Hallyday a dû rentrer le 15 janvier aux Etats-Unis, c’est parce qu’elle « avait vraisemblablement épuisé ses six mois en dehors du territoire américain pour 2017 », ce qui lui aurait valu un retrait de la carte.
« Quand on a cette fameuse green card, on ne peut pas être absent plus de six mois par an des Etats-Unis. Quand on quitte le territoire américain, il faut bien déclarer ses impôts sur place, conserver une vie active aux Etats-Unis, utiliser une carte bleue américaine, même à l’étranger », explique le spécialiste.
Si la jolie blonde est actuellement à Saint-Barth, où elle s’est recueillie sur la tombe de son homme, c’est qu’elle ne risque rien.
« Il est toujours possible de demander une dérogation auprès des services de l’immigration (USCIS).
Mais il faut motiver cette dérogation, donner des raisons précises et sérieuses, ce qu’elle a probablement fait en décembre. On peut en avoir plusieurs par an, mais, honnêtement, je ne pense pas qu’elle ait demandé de dérogation pour quinze jours de vacances à Saint-Barth », est-il indiqué.