Kate Middleton ne pourrait qu’être fière de son mari, le prince William, qui est en train de monter en puissante au sein de la "firme", contrairement à son cadet, le prince Harry. Ce dernier est sur le point d’être éclipsé par son ainé.
Si l’étoile du mari de Meghan Markle pâlit, l’héritier du trône quant à lui monte en puissance, rappelle le magazine Paris Match, qui revient sur cette guérilla familiale dans les colonnes de son édition de cette semaine.
"A défaut d’avoir trouvé un rôle défini dans le cadre bien rigide de la monarchie, Harry a conquis le droit de s’exprimer", précise la publication.
Mais cette liberté l’expose à des controverses, notamment après sa sortie médiatique sur l’élection américaine.
Le second fils du prince Charles s’est en effet prononcé contre le président Donald Trump, au grand regret de la reine Elizabeth, qui estimerait qu’une ligne rouge a été dépassée.
« Lors de ces élections, je ne vais pas pouvoir voter aux Etats-Unis.
Mais comme la plupart d’entre vous le sait, je n’ai jamais pu voter de ma vie au Royaume-Uni. », avait-il lancé.
D’après "Paris Match", cette sortie inattendue est une violation des accords conclus avec le palais suite à sa décision de prendre ses distances et de renoncer à ses activités protocolaires. Cela lui a aussi attiré les foudres des journaux conservateurs et proches de la royauté.
"Le « Daily Telegraph » s’est inquiété du coup porté à la relation diplomatique avec les Etats-Unis. « The Spectator » titre : « L’avis de Meghan
et Harry sur Trump, tout le monde s’en fiche ! », précise la publication.
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