L’actrice et productrice de 46 ans ne peut plus se permettre de passer des cachets qui lui permettent de tenir le coup, croit savoir le magazine ’France Dimanche’, dans son édition du 4 janvier.
Le magazine people rappelle dans un premier temps que derrière cette sérénité affichée par l’ex première dame officieuse, et sous son masque de bonheur tranquille, se cache une « grave addiction ».
« Une dépendance a ? un me ?dicament, auquel l’actrice est he ?las devenue accro lorsqu’elle n’avait que 21 ans, et qui ne l’a, depuis, jamais plus laissée en paix. Julie n’e ?tait a ? l’e ?poque qu’une simple e ?le ?ve de l’e ?cole de cirque Annie Fratellini ».
Celle qui s’est octroyée une escapade avec François Hollande dans le nord avait fréquenté cette école pour les besoins de son rôle de funambule dans le film « A ? la belle Etoile », réalisé par Antoine Desrosières. Le film raconte l’histoire de Thomas, jeune homme de 17 ans, qui comprend que sa vie lui appartient enfin. Quatre jeunes femmes contribuent à son éducation sentimentale.
A l’époque, chaque soir, Julie Gayet souffrait de terribles courbature. Et un contorsionniste lui a alors livré un « tuyau », à l’origine de son addiction. Mais en réalité, ce n’est pas de la drogue ou autre chose, mais de l’aspirine.
« J’ai toujours sur moi un tube d’aspirine », a confié celle qui a pris ses distances avec François Hollande.