Jeni­fer - Le paparazzi « salement amoché ». C’était d’une violence inouïe

« Je four­nis des sujets, je ne souhaite pas en deve­nir un ! », explique-t-elle pour justifier la raison pour laquelle elle demande à rester anonyme.

Mais si elle a accepté de répondre aux ques­tions de L’Express, c’est parce que son photo­graphe a été victime d’ « une violence inouïe ».

Si pour Jenifer, ce photographe est « un rat », pour sa patronne, il s’agit « s’agit d’un travailleur agressé », qui a « écopé de de cinq jours d’ITT (arrêt de travail), pour avoir croisé la route de la chanteuse de 34 ans et de son homme.

« C’est impor­tant de le préci­ser. Ils l’ont roué de coups. C’était d’une violence incroyable, c’était deux hysté­riques. Il a eu mal. Il n’était même pas en train de les photo­gra­phier ! », précise-t-elle, avant de faire part de son intention de porter l’affaire au pénal. Elle convaincue de gagner cette bataille.

« On ne peut pas lais­ser les gens user de tant de violence. Oui, on viole la loi chaque jour, mais on reste dans le respect. On ne publie pas de photos de couples illé­gi­times, seule­ment celles de nouveaux amou­reux. Je sais ce que je fais, même si je suis la plupart du temps sur un fil », explique—t-elle.
Contactée par l’Express, Jenifer a refusé de réagir à cette agression.