Quelques jours avant d’être emporté des suite d’un cancer des poumons, Jean-Pierre Pernaut était convaincu qu’il allait s’en sortir. Il était très optimiste.
Son amie, Dominique Lagrou-Sempère, se livre à cette disparition à l’âge de 71 ans lors d’un entretien accordé au Parisien, occasion de lui rend hommage.
Elle l’a longtemps accompagné au JT du 13 heures.
Et lors de leurs échanges très réguliers, la journaliste n’a jamais senti que son ami était au bout du chemin, qu’il était sur la fin.
« C’est un mec qui a toujours cru en la vie. Jusqu’au bout, il a cru
en la vie », a confié celle qui lui téléphonait une fois par semaine parfois deux fois. Jean-Pierre Pernaut semblait remis d’aplomb après avoir pris du bon temps en famille aux Maldives à l’occasion des fêtes de fin d’année.
Leurs liens étaient indéfectibles. « On s’envoyait des photos de nos
enfants, des vacances, on avait aussi un plaisir commun, le jardinage », a précisé la journaliste qui a quitté l’an dernier le groupe TF1.
D’après le magazine France Dimanche, Lors d’une visite de routine, les médecins, « après lui avoir annoncé qu’un cancer du second poumon était en train de remplacer le premier, se sont rendu compte que ses artères étaient bouchées et lui ont conseillé une opération immédiate ». Mais sa vulnérabilité cardiaque aurait tout compliqué.
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