Catherine Ringer s’explique sur le vent mis à Emmanuel Macron lors de la cérémonie pour l’IVG. Et ses explications n’ont pas convaincu sur les réseaux sociaux.
Une semaine après sa participation à la Marche Républicaine avec Mélissa Theuriau, Jamel Debbouze brise le silence sur les attentats à Charlie Hebdo dans le cadre de ’Sept à Huit’, l’émission de ’TF1’.
’J’ai pas su réagir, j’étais littéralement sonné’, confie l’humoriste à propos de l’attentat à Charlie Hebdo et des deux autres drames qui ont secoué la capitale, regrettant au passage la faible présence des jeunes des banlieues à la Marche Républicaine.
’On n’était pas assez nombreux. Il faut que l’on soit fiers de notre identité’, lance-t-il.
Pour le mari de Melissa Theuriau, ’La France de la différence, de la multi-culture, de l’amour, de la tolérance, de la paix, un pays avec des valeurs nobles’.
’Je suis Français, musulman, artiste (…) marié à une chrétienne, journaliste.... très très belle. Ça pour moi c’est la France’, a fait savoir le complice de Gad Elmaleh.
Croyant, l’humoriste avoue avoir été déstabilisé par les caricatures de Mahomet.
’Le blasphème, c’est pas ma culture, ça me fait pas rire. Mais on ne peut pas insulter, agresser et tuer juste parce qu’on est pas d’accord’, a-t-il rappelé.
’On ne tue pas au nom de Dieu, ça n’existe pas’, poursuit Jamel Debbouze, qui sera de retour sur nos écrans en mars prochain avec un film d’animation.
’Le terrorisme n’a pas de religion’, a-t-il indiqué. Quant aux jeunes qui n’ont pas respecté la minute de silence, des ’gamins pas éduqués, pas encadrés, ou tout simplement pas aimés’, l’humoriste trouve leur comportement ’complètement débile, irrespectueux, que ça ne se fait pas de ne pas respecter les morts’.
Ces articles devraient vous intéresser :